the charter project Africa

The Charter Project Africa

Malgré la croissance du cadre politique et institutionnel de l’Union africaine (UA) pour le renforcement de la démocratie, la gouvernance démocratique dans les États membres de l’UA est confrontée à divers défis, y compris dans les pays ciblés par ce programme: Afrique du Sud, Bénin, Botswana, Cap-Vert, Éthiopie, Kenya, Nigeria, Sénégal, Soudan, Tanzanie et Zambie. Si la traduction en droit interne d’instruments normatifs, tels que la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance (ACDEG), qui incarne les engagements du continent en faveur d’un programme démocratique, s’est accrue ces dernières années, les transformations politiques sur le continent témoignent avec cohérence d’une tendance au recul démocratique.

Ce programme financé par l’Union Européenne sur la période 2021 – 2023 sera mis en œuvre par un consortium composé de European Partnership for Democracy (EPD), European Centre for Development Policy Management (ECPDM), Gorée Institute, Democracy Works Foundation (DWF), Code for Africa et Africtivists.

European Partership for Democracy
European Centre for Development Policy Management
Democracy Works Foundation
Logo Gorée Institute
Africtivist
Code for Africa

Ce programme contribuera à surmonter les obstacles politiques et structurels qui limitent l’engagement de la société civile dans l’AGA et est conçue en reconnaissance du rôle central que la société civile peut Agenda 2063 de Union Africaine. Elle est également alignée sur la « Stratégie de l’UE pour l’engagement avec la société civile panafricaine » qui, en fin de compte, soutiendra le rôle de la société civile dans la réalisation de l’aspiration 3 de l’Agenda 2063 de l’UA.

Plus spécifiquement, le programme a pour objectifs spécifiques :

  • fournissant des ressources, des opportunités de mentorat et de mise en réseau qui renforceront les initiatives civiques et de jeunesse panafricaines dans le domaine de la démocratisation et de la gouvernance ;
  • se basant sur la « technologie civique » pour analyser et contrôler les normes inscrites dans l’ACDEG et pour finalement renforcer la demande de ratification et de mise en œuvre de cet outil de gouvernance clé
  • ouvrir des espaces pour un dialogue multipartite de grande envergure.